Synopsis de Just a kiss :
Casim Khan, émigré pakistanais de la deuxième génération, travaille comme DJ dans une discothèque de Glasgow et rêve de monter son propre club. Ses parents, Tariq et Sadia, musulmans pratiquants, ont décidé de le marier à sa cousine, Jamine, dont ils attendent l'arrivée en Ecosse. Leur projet semble bien compromis quand Casim s'éprend de Roisin.Jeune enseignante, Roisin est différente de toutes les filles que Casim a fréquentées jusqu'alors. Elle n'est pas seulement belle et intelligente, mais aussi volontaire, indépendante et catholique.
Découvrez Just a kiss (2004) - une œuvre cinématographique réalisée par le talentueux Ken-Loach et mettant en vedette Eva-Birthistle, une figure marquante du cinéma. Ce film, qui se classe dans la catégorie familial , animation , romance, offre une durée de 71 minutes, promettant ainsi une immersion complète dans un univers captivant. Avec une note impressionnante de 6.538/10, Just a kiss a su conquérir le cœur des spectateurs et des critiques du monde entier. Synopsis :Just a kiss, sorti en 2004, est un film familial , animation , romance qui explore des thèmes universels à travers une narration poignante et des performances exceptionnelles. Le film commence sur une scène qui capte immédiatement l'attention, introduisant Eva-Birthistle dans le rôle principal. Sous la direction habile de Ken-Loach, le film déploie une histoire captivante, entrelacée de moments d'intense émotion et de réflexions profondes. Le récit suit le parcours de Eva-Birthistle, dont le personnage se trouve confronté à des défis qui testent sa force et son intégrité. À travers un scénario riche et des dialogues incisifs, le film propose une exploration détaillée des complexités humaines et des dilemmes moraux. La mise en scène, caractérisée par des visuels époustouflants et une attention méticuleuse aux détails, enrichit l'expérience cinématographique, rendant chaque scène mémorable et visuellement impressionnante. La performance de Eva-Birthistle est particulièrement remarquable, offrant une profondeur émotionnelle qui transcende l'écran. L'acteur réussit à capturer l'essence complexe de son personnage, rendant chaque moment de joie, de tristesse, de conflit et de triomphe palpable pour le spectateur. Cette interprétation, alliée à la direction artistique de Ken-Loach, fait de Just a kiss un film incontournable de l'année 2004. Sur le plan technique, le film brille également par sa bande sonore, composée pour accentuer subtilement l'ambiance et intensifier l'impact émotionnel des scènes clés. Le montage, à la fois dynamique et réfléchi, assure un rythme qui maintient l'engagement du spectateur tout au long du film. Chaque élément, de la photographie à la conception des costumes, est pensé pour contribuer à l'authenticité et à l'atmosphère unique du film. En matière de réception, Just a kiss a reçu des éloges pour son approche innovante et son courage narratif. La critique a salué le film pour sa capacité à traiter des sujets délicats avec respect et finesse, tout en offrant un divertissement de qualité. Le film a non seulement été un succès critique, mais a également performé remarquablement bien au box-office, attestant de son attrait universel. Pour ceux qui apprécient les films qui provoquent la réflexion et offrent une expérience cinématographique enrichissante, Just a kiss est un choix parfait. Que ce soit pour son histoire captivante, ses performances stellaires, ou sa réalisation impeccable, ce film est une célébration du cinéma qui reste gravée dans les mémoires longtemps après la fin de la projection. En conclusion, Just a kiss est plus qu'un film; c'est une expérience transformative qui défie les conventions du genre familial , animation , romance. Il représente une étape significative dans la carrière de Ken-Loach et confirme Eva-Birthistle parmi les talents les plus respectés de sa génération. Un must-see pour les amateurs de cinéma en 2004, Just a kiss continue de captiver et d'inspirer les spectateurs du monde entier, affirmant sa place comme une œuvre majeure de notre époque.
